- FAD : 4 923 810 000 FCFA
- UE : 846 184 530 FCFA
- FEM : 290 520 000 FCFA
- GCF (Don) : 1 768 500 000 FCFA
- GCF (Prêt) : 567 880 000 FCFA
- GVT : 755 151 263 FCFA
- BENEFICIAIRES : 159 970 000 FCFA

Les principaux partenaires :
- Banque Africaine de Développement (BAD) ;
- Fonds Vert pour le Climat (FVC) ;
- Union Européenne (UE) ;
- Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM).

Les parties prenantes impliquées dans la mise en œuvre du Programme :
- Ministère des Affaires Sociales (MINAS) ;
- Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural (MINADER) ;
- Ministère de l’Eau et de l’Energie (MINEE) ;
- Ministère de l’Environnement, de la Protection de la Nature et du Développement Durable (MINEPDED) ;
- Ministère des Finances (MINFI) ;
- Ministère des Forêts et de la Faune (MINFOF) ;
- Ministère des Pêches et des Industries Animales (MINEPIA) ;
- Ministère des Travaux Publics (MINTP) ;
- La Confédération Nationale des Usagers et Usagères des Ressources Naturelles du Bassin du Niger, portion Camerounaise.

Le PIDACC/BN est la seconde phase du Programme de Lutte Contre l’Ensablement (PLCE) qui s’est déroulé de 2025à 202104
Au regard des multiples avantages obtenus par les pays bénéficiaires, l’Autorité du Bassin du Niger (ABN) a initié avec l’appui financier de la Banque Africaine de Développement (BAD), le second programme régional dénommé « Programme Intégré de Développement et d’Adaptation aux Changements Climatiques dans le Bassin du Niger PIDACC/BN » en vue non seulement de consolider les acquis du PLCE/BN, mais aussi de les étendre aux autres pays membres du bassin. La zone d’intervention du PIDACC couvre les 9 pays du Bassin du Niger dont 07 pays sont membres de la CEDEAO (Benin, Burkina-Faso, Côte d’Ivoire, Guinée, Mali, Niger et Nigeria) et 02 pays de la CEEAC (Cameroun et Tchad).

Une brève description du projet, incluant les principales activités prévues, les phases du projet, et les méthodologies employées.)
Le PIDACC découle des résultats satisfaisants du PLCE, des études du schéma directeur régional, du Plan d'Actions pour le développement Durable du Bassin du Niger (PADD) et de son Programme d'Investissement (PI) adoptés, au cours d’une réunion internationale à laquelle ont pris part les représentants des pays membres, des organisations de la société civile et des bailleurs de fonds.
Au regard des multiples avantages obtenus par les pays bénéficiaires, l’Autorité du Bassin du Niger (ABN) a initié avec l’appui financier de la Banque Africaine de Développement (BAD), le second programme régional dénommé « Programme Intégré de Développement et d’Adaptation aux Changements Climatiques dans le Bassin du Niger PIDACC/BN » en vue non seulement de consolider les acquis du PLCE/BN, mais aussi de les étendre aux autres pays membres du bassin. La zone d’intervention du PIDACC couvre les 9 pays du Bassin du Niger dont 07 pays sont membres de la CEDEAO (Benin, Burkina-Faso, Côte d’Ivoire, Guinée, Mali, Niger et Nigeria) et 02 pays de la CEEAC (Cameroun et Tchad).
Il est prévu quelques activités notamment :
- Les travaux de conservation des eaux et des sols ;
- L’élaboration d’un manuel de financement des sous-projets ;
- Les travaux d’agroforesterie sur une superficie de 2 000 ha ;
- Les travaux d’aménagement dans les parcs nationaux du Faro et de la Bénoué sur une superficie de 100 ha ;
- La plantation dans les réserves forestières de Zamay, Mayo Louti et le périmètre de reboisement de Mogodé ;
- L’opérationnalisation du système d’alerte précoce ;
- Le financement des sous-projets des groupes vulnérables ;
- La construction du barrage de Moudourwan et son périmètre irrigué ;
- Les travaux d’infrastructures communautaires d’adaptation au changement climatique.

L’objectif global du Programme est de contribuer à l’amélioration de la résilience des écosystèmes du fleuve Niger et des populations par une gestion durable des ressources naturelles.
De manière spécifique, il vise à :
- préserver les écosystèmes du Bassin, notamment à travers la réduction du processus d’ensablement du fleuve Niger ;
- améliorer la résilience des systèmes de production et des populations.

- Les écosystèmes sont restaurés et mieux gérés ;
- Les productions sont sécurisées et augmentent ;
- La capacité d’adaptation au changement climatique est renforcée.
- Renforcement de la coopération régionale en matière de gestion des ressources en eau.