PPM - Niger - Programme Intégré de Développement et d'Adaptation au Changement Climatique (simplifié) - PIDACC

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L’atelier, présidé par Monsieur Wendémi Cyprien TIZAMBO, Directeur Général des Ressources en Eau et Coordonnateur de la Structure Focale Nationale (SFN) du Burkina Faso, a réuni une diversité de participants venus de tous les pays membres de l’Autorités du Bassin Niger (ABN), reflétant l’approche participative, itérative et collaborative essentielle à cette initiative.
Les participants ont inclus des représentants multidisciplines des pays membres de l'ABN, à savoir : le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Mali, le Niger, le Nigeria et le Tchad. Des représentants de plusieurs barrages et projets de barrage tels que Lagdo (Cameroun), Fomi (Guinée), Taoussa (Mali), Kandadji (Niger), Kainji et Jebba (Nigeria) ont également pris part aux discussions.
L’atelier a été enrichi par la présence du représentant de la Banque Africaine de Développement, de la GIZ ,des cadres du Secrétariat Exécutif de l’ABN, des membres du Comité Ad hoc du FRACC/BN, de la personne ressource en charge de l’élaboration des textes juridiques du FRACC, des coordinations régionales et nationales des usagers et usagères du Bassin des ressources naturelles ainsi que des personnes ressources.

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Plan de passation de Marchés version simplifiée du Programme Integré de Developpement et d'Adaptation au Changement Climatique de la période du 1er mars 2024 au 31 août 2025

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Sélection de Consultant individuel pour la conception, le développement et le déploiement d’un portail web institutionnel intégré, bilingue de l’Autorité du Bassin du Niger (ABN), dans le cadre de la mise en œuvre du PIDACC/BN (Composante Régionale).

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La Banque africaine de développement et l'Autorité du bassin du Niger (ABN) ont organisé un atelier régional d'évaluation des résultats à mi-parcours du Programme intégré de développement et d'adaptation au changement climatique dans le bassin du Niger (PIDACC/BN), à Niamey le 28 mai 2024. L'atelier a été ouvert par le Ministre nigérien de l'Eau, de l'Assainissement et de l'Environnement, Maizama Abdoulaye.
Le programme, qui s'étend de 2019 à 2025, vise à renforcer la résilience des populations face au changement climatique dans les neuf pays du bassin du Niger : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d'Ivoire, Guinée, Mali, Niger, Nigeria et Tchad.
L'atelier a été l'occasion d'examiner les progrès physiques et financiers des composantes nationales et régionales, les dispositions institutionnelles et les approches de mise en œuvre du programme, ainsi que l'application des procédures de passation des marchés. C'était également l'occasion d'évaluer les progrès et le temps nécessaire pour ajuster les procédures de passation des marchés afin d'accélérer les activités post-examen.
Une série de recommandations et d’orientations stratégiques ont émergé, notamment concernant les coûts des activités et la durée des programmes. L’objectif est de mettre en œuvre plusieurs activités, notamment celles liées aux infrastructures communautaires ou polyvalentes et aux sous-projets de développement communautaire.
Le Programme intégré de développement et d'adaptation au changement climatique dans le bassin du Niger coûte environ 218,66 millions de dollars. Sur ce montant, 77,55 millions de dollars sont financés par le Groupe de la Banque africaine de développement à travers le Fonds africain de développement, 67,80 millions de dollars sont financés par le Fonds vert pour le climat, l'Union européenne fournit 14,60 millions d'euros et le Fonds pour l'environnement mondial finance des dollars. 12,01 millions de dollars et le Fonds stratégique pour le climat fournit 9 millions de dollars. Le financement de contrepartie du gouvernement des neuf pays de l'Autorité du Bassin et des bénéficiaires s'élève à 33,42 millions de dollars. L'Agence allemande de développement, par l'intermédiaire de la Banque allemande de développement KFW, fournit un financement de contrepartie de 10 millions d'euros pour la composante malienne et de 14 millions d'euros pour la composante guinéenne.

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